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De la figuration narrative.

La définition la plus simple de la figuration narrative est que ce courant est rattaché généralement à la nouvelle figuration et au pop art, mais surtout l'ensemble des images du quotidien. Les thèmes des œuvres sont généralement des scènes de tous les jours ou de l'histoire sociale. les artistes qui compose le courant , travaillant à partir de l’image photographique ou cinématographique, de l’imagerie publicitaire, de la bande dessinée ou même de la peinture classique, aboutissent à des oeuvres qui détournent la signification première de ces représentations pour en révéler des sens inattendus, suggérer d’autres narrations, montrer leurs implications politiques.

Reprenant ces principes, le travail de Laurent Nicolas s'est attaché à être un témoignage de l'époque, mais en se situant du côté de l'humain pour la décrire l'individu dans son temps, souvent aux prises avec ses tumultes personnels. 

Dés les années 1980, les premières peintures furent constituées de toiles réalistes en noir et blanc au format 1,00 x 1,00 m pour la plupart et présentées à Tour, Caen et au Musée de Vire en 1983, dans le cadre d'une exposition sur la figuration narrative au coté de Cuecco, Erro, Klasen, Rancillac et la jeune génération du mouvement. Les thèmes sont urbains, nocturnes et sociaux. Les premières oeuvres ont pour objectif de témoigner d'une époque d'images festives et déchirées mais pleine de vie et d'amour où défile en clip sur MTV : la chute du mur de Berlin, les victimes du sida, la catastrophe de Tchernobyl, et Milan Kundera publiant : L'Insoutenable Légèreté de l'être !

le dernier train Laurent Nicolas
Le dernier train du 4 Aout 1982*
peinture de Laurent Nicolas 1981
Le cri acrylique sur toile
Le cri 1990
Soyons iréalistes 1981
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Restons calme 
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